A l’occasion de ses 30 ans, Veternity, leader français des obsèques animalières, a réalisé avec Kantar une étude exclusive sur l’évolution de la relation Homme / Animal.
Si le lien affectif est fort pour les 60% de Français qui ont au moins un animal de compagnie, l’étude révèle une évolution sociétale majeure où l’animal transcende son statut traditionnel pour devenir un partenaire de vie émotionnel.
Pour 93% des Français, posséder un animal est bon pour la santé
Les Français ont un lien affectif très fort avec leurs animaux : 94% les considèrent comme un proche. 68% les considèrent comme un membre de la famille et 17% leur accordent le statut d’enfant du foyer.
La motivation à posséder un animal est basée sur la réciprocité de la relation. Les Français veulent offrir une belle vie à un animal à 58%. Mais ils en retirent aussi des bénéfices personnels liés à ce que l’animal leur apporte : affection (53%), équilibre mental et émotionnel (48%), réduction du stress (27%), sentiment d’utilité (10%). Pour les 50-65 ans, l’animal aide plus particulièrement à se maintenir en forme et actif (à 61%). Pour les plus jeunes, le compagnon est aussi un protecteur apprécié.
Autant dire que lorsque l’animal vient à décéder, la perte est vécue très douloureusement. 76% des répondants disent avoir vécu la perte de leur compagnon comme un véritable deuil, 78% évoquent un sentiment de vide et 33% parlent même de dépression après le décès de leur compagnon.
La « pet parentalité » : une nouvelle relation à l’animal chez les jeunes
La génération des 25-34 ans révèle un lien affectif particulièrement prononcé avec ses animaux de compagnie, considérant massivement l’animal comme un enfant à 33% (vs 17% pour l’ensemble de la population).
67% offrent régulièrement à leur compagnon des jouets et 44% d’entre eux publient régulièrement des photos ou des stories de leur animal sur les réseaux sociaux. Chez les 18-24 ans, 29% adorent l’idée que leur animal ait son propre compte Instagram ou TikTok.
Rien n’est trop beau pour exprimer la force du lien affectif
On le voit, les jeunes propriétaires d’animaux sont très investis, tant sur le plan émotionnel que sur le plan économique, en étant prêts à offrir des soins (inattendus) à leur animal, comme un spa ou un massage (42% des 25-34 ans).
Au décès de l’animal, 75% des 25-34 ans affirment qu’il est important de commémorer la mémoire de l’animal, contre 45% pour les 65 ans et +. Cette fracture générationnelle s’exprime dans des attentes spécifiques en matière de mémorialisation (passage du décès au souvenir) : supports mémoriels physiques (empreintes de pattes, touffes de poils) ou digitaux (comme le cimetière virtuel Animorial.fr, qui compte plus de 8.000 hommages), partage au sein de leurs communautés (26.000 followers Esthima sur Facebook) et accompagnement au deuil. Ainsi 48% des 18-34 ans disent avoir besoin du soutien d’un professionnel pour les aider à surmonter leur perte, contre 18% pour le 65 ans et +.
41% des possesseurs de chiens souhaitent recourir aux obsèques animalières
Pour 80% d’entre eux, le bien-être de leur chien passe avant tout. Ils sont 81% à se dire profondément angoissés par la fin de vie de leur compagnon. C’est ce qui explique que 90% d’entre eux considèrent que dire adieu à un animal mérite autant de respect et de rituels qu’un deuil humain.
Face à ce besoin d’honorer la mémoire de l’animal et de s’acquitter de la dette affective créée par l’amour inconditionnel que celui-ci a porté à son propriétaire (ou « parent »), 28% des répondants à l’enquête disent ne pas connaître l’existence des services funéraires animaliers, alors que 9% disent y avoir déjà eu recours et 30% être intéressés.
À propos de Veternity
Veternity, pionnier du funéraire animalier depuis 30 ans, propose des solutions d’obsèques animalières (crémation avec ou sans cérémonie d’hommage) sous la marque Esthima, dédiée aux chiens, chats et NAC, et sous la marque Horsia, pour les chevaux, poneys et ânes, qui occupent eux aussi une place particulière dans le cœur des Français.
En 2024, Veternity a accompagné plus de 580 000 familles dans la perte de leur animal, dont 2 000 équidés, soit près des trois quarts des 800 000 crémations animalières réalisées en France.
Le groupe collabore avec plus de 4 000 cliniques vétérinaires et accueille le public dans 17 crématoriums animaliers et 2 maisons funéraires sur le territoire. Il propose un service d’accompagnement téléphonique sur les démarches funéraires et a mis en place depuis juin 2025, Cœur Compagnon, un service d’accompagnement émotionnel dédié au deuil animalier.
Méthodologie de l’étude Kantar pour Veternity
Étude quantitative réalisée en ligne par Kantar pour Veternity du 14 au 19 mai 2025 auprès de 1 010 Français, selon un échantillon national représentatif (sexe, âge, région, catégorie socioprofessionnelle, taille d’agglomération).
