ActualitésAnimaux sauvagesChasse à courre : ni éthique ni naturelle

Convention Vie et Nature6 décembre 202420 min

Si les chasseurs sont les tueurs d’animaux sauvages, les veneurs en sont les tortionnaires. Le vocabulaire cynégétique ne peut camoufler la réalité des faits.

De plus en plus contestée, la chasse à courre s’emploie à dissimuler ses pratiques au public.

L’apparat n’est plus de mise, cette chasse-loisir de classe cherche à se cacher mais la violence de la vénerie s’expose.

Accaparement des terres, aménagement cynégétique des massifs forestiers, gestion déséquilibrée du gibier néfaste aux forêts et aux riverains, la chasse à courre du temps de la royauté perdure dans ses errements.

C’est une chasse qui n’est ni naturelle ni éthique.

Sommaire

  1. A courre, à cor et à cri
  2. Réminiscences royales
  3. Un mode de chasse contesté
  4. Des procédures-baillons
  5. Lobby chasse
  6. Débat public et pluralisme des idées

La chasse à courre, aussi appelée vènerie, consiste à poursuivre un animal sauvage à l’aide d’une meute de chiens courants, encadrés de veneurs et d’un équipage à cheval, jusqu’à épuisement et mise à mort.

C’est une chasse de loisir, une chasse de classe pour privilégiés à la fois par le côté financier (redingote, meute de chiens, cheval, moyens de transport et autres), mais aussi par le territoire de chasse nécessairement très étendu.

C’est une chasse très codifiée avec ses rituels et son vocabulaire.

Le courre consiste à poursuivre un animal sauvage avec une meute de chiens courants « créancés », c’est-à-dire dressés à traquer une espèce précise.

Le cor, ou trompe de chasse, est un instrument de musique utilisé pour communiquer des informations aux veneurs et aux chiens, ainsi aiguillés sur le déroulé de la traque. Le « bien-aller » indique que les chiens sont sur la bonne piste (voie), le « débuché » que la meute est en plaine et se dirige vers un autre massif forestier, le « bat-l’eau » que l’animal de chasse est dans un étang ou une rivière, la « vue » que l’animal de chasse est vu par le sonneur.

Le cri est celui du chien car en vénerie le chien n’aboie pas, il crie.

Les chiens de chasse sont créancés, c’est-à-dire dressés à poursuivre une seule espèce d’animal sauvage. Une meute est créancée dans la voie du cerf, une autre est créancée dans la voie du chevreuil. Une attestation de meute est alors délivrée par les services de l’Etat qui vaut autorisation de chasser à courre. [1]

Les formulaires sont variables d’un département à l’autre, certains curieusement simplifiés. Aucun justificatif autre que l’aval de leurs pairs, l’association des équipages (société de vènerie) et la fédération départementale des chasseurs. Aucune exigence objective du dressage des chiens sur une espèce précise. Pourtant, la Société centrale canine organise des épreuves et délivre des brevets réservés aux équipages de chasse à courre. [2]

Des témoignages existent sur des chiens de chasse à courre, prétendument créancés sur du gibier, qui ont attaqué des animaux de compagnie, chat et chiens et dévorés vivant un chien [3], un lama [4]

Des espaces organisés pour la chasse. Sous la royauté, la chasse à courre était plaisir du roi mais aussi politique de cour.

Un territoire de chasse presque exclusivement dévolu à la vénerie. [5]

  • Appropriation de terres

La vènerie ne s’exerce pas en tous lieux, le cerf ne peut être couru que dans de vastes massifs forestiers. Un grand mouvement d’appropriation de terres conduit à la création de vastes domaines de chasse d’un seul tenant avec des mutations foncières de grande ampleur. Elles sont suivies de transformations des prés, terres de cultures, terres vaines et vagues, marécages et bois, en véritables forêts de chasse. La vénerie est consommatrice d’espace et donc de conquête de terres.

  • Aménagements des massifs forestiers

Les grandes forêts de vénerie font l’objet d’aménagements spécifiques. De longues allées sont créées pour faciliter la circulation des chevaux et voitures des suiveurs avec des carrefours en étoile rayonnant dans toutes les directions pour faciliter le repérage et la poursuite des veneurs. Ces principaux carrefours permettent d’observer la traversée du gibier pour lancer au bon moment les relais, placés généralement aux marges du dispositif. C’est l’aménagement de magnifiques percées rectilignes avec leurs ronds-points pour favoriser le change des chiens et la chasse à courre.

Des poteaux indicateurs sont installés à tous les carrefours et même le long des routes, au seul usage des équipages de chasse à courre. La forêt de Compiègne en prolongement du parc du château et de l’allée des Beaux-Monts en est la parfaite illustration avec ses nombreuses routes, allées et carrefours en étoile.

Carrefour du Puits du Roi Forêt de Compiègne

Ce plan stellaire est bien différent de celui en damier des forêts de production de bois.

Tableau : Chasse de Louis XV dans la forêt de Compiègne, le rendez-vous au Puits-du-Roi (Musée du Louvre). [6]

  • Une gestion spécifique des couverts

La transformation des espaces forestiers par la gestion des domaines de chasse est détaillée dans les traités d’économie rurale. Pour la chasse à courre, il faut disposer d’une haute futaie, structure qui facilite la poursuite du gibier et permet de belles chevauchées. Mais ce sont des milieux pauvres ne pouvant accueillir de grandes densités d’animaux, il faut donc les enrichir par des arbres porteurs de fruits (chêne, hêtre, châtaignier, pommier sauvage, merisier) en complément d’ormes et de tilleuls. Le gibier ayant du mal à s’adapter à un seul type de couvert, il faut surtout veiller à lui ménager un environnement diversifié avec des zones de cultures et points d’eau afin de fixer les animaux sur un territoire.

Aux vieilles futaies s’ajoutent des zones plus jeunes, en demi-futaie ou en taillis sous futaie, aux multiples essences. Les zones de gagnage sont apportées par l’herbage des grandes laies ou par les champs des voisins et les points d’eau par les étangs et petites rivières. En complément, il est procédé à des agrainages, de l’affouragement et des apports hivernaux de céréales.

Certaines forêts sont entièrement transformées pour de tels aménagements avec une gestion fine et complexe de ces espaces de chasse.

  • La densité des animaux

Une dynamique de peuplement de gibier de ces grands espaces de vènerie se met en place. Pour faciliter l’accueil du gibier, on ne tient plus compte des disponibilités alimentaires comme facteurs de régulation. Souvent, les cheptels sont artificiellement augmentés par le transfert d’animaux pris aux toiles dans d’autres massifs. Cette pratique semble même assez fréquente pour faire l’objet d’une véritable théorisation dans les traités de chasse.

On enregistre par ailleurs des débuts d’élimination des prédateurs sauvages par les gardes, notamment du loup même si l’extermination de cet animal commence véritablement en grand dans la seconde moitié du XVIIIe siècle.

La protection du gibier est aussi renforcée par l’absence ou la quasi-absence de chasse dans certaines forêts des capitaineries royales. La pullulation du gibier commence à entraîner plaintes et récriminations des riverains, croissantes au fil du temps.

Dans les espaces les plus chassés, les ruptures d’équilibre sont aussi renforcées par l’activité cynégétique elle-même. La chasse au trophée, la poursuite des plus belles bêtes conduit irrémédiablement à déséquilibrer les pyramides des âges, à désorganiser les hardes, entraînant une mauvaise régulation du cheptel. Le stress des animaux induit une perturbation de leur régime alimentaire et à une mauvaise exploitation des ressources disponibles.

Les forêts d’alors sont encore des espaces usagers, intensément parcourus par les bestiaux, et les officiers des maîtrises ont naturellement intérêt à faire peser la charge des dégradations sur les communautés d’habitants afin d’obtenir une réduction des droits d’usage plutôt que de vainement stigmatiser les comportements alimentaires d’un gibier favorisé par le maître des lieux.

  • Déséquilibre

Les grandes forêts de vénerie présentent donc des spécificités réelles à l’époque classique. Au total, ces massifs forestiers apparaissent réellement façonnés pour et par la chasse, tant dans leur taille, leur plan, que dans leur structure interne. Si l’on cherche toujours à concilier la production de bois et l’exercice de la chasse, il reste difficile d’obtenir un équilibre entre ces deux objectifs, le second l’emportant souvent sur le premier. Alors que le gibier semblait par le passé relativement rare, ces aménagements portent rapidement leurs fruits : la pénurie laisse souvent la place à l’abondance, engendrant des déséquilibres environnementaux nouveaux.

  • La chasse à courre est une chasse orchestrée

Elle s’organise autour d’aménagements forestiers façonnés exclusivement pour la vènerie. Elle est conçue comme un prolongement de la guerre avec une stratégie presque militaire exigeant connaissance de la topographie, des mœurs des cerfs et des chiens comme le démontre le Traité de vénerie, par M. d’Yauville, premier veneur et ancien commandant de la vènerie du Roi. [7]

À ces justifications naturalistes qui séduisaient le Roi s’ajoutait, de manière presque contradictoire, une légitimité toute royale puisque chasse et souveraineté étaient indissociables au temps de l’absolutisme. Cardin Le Bret, dans son Traité de la souveraineté du roi (1632), pose le principe que les Princes souverains ont la puissance, non seulement de régler la chasse, mais encore de la défendre et de la permettre à qui bon leur semble, jugeant, au surplus, cet exercice utile aux rois pour se rendre l’esprit plus propre à l’étude et les rendre plus robustes et plus courageux en la conduite des guerres.

Ainsi, la chasse à courre n’est pas une chasse naturelle contrairement à ce que voudraient nous faire croire les veneurs actuels.

C’est une chasse totalement organisée sur le terrain et stratégiquement mise en oeuvre à des fins de préparation à la guerre. Elle a des conséquences néfastes tant pour les forêts que les animaux sauvages et les riverains.

Cette tradition revendiquée par les veneurs actuels est un non-sens.

La chasse à courre est de plus en plus rejetée par le public français : les sondages, les pétitions, les propositions de loi d’abolition, les réactions des riverains et le militantisme associatif en sont la démonstration évidente alors que nos voisins européens l’ont abolie depuis longtemps.

La principale argumentation est la cruauté de ce mode de chasse qui torture durant des heures un animal sauvage traqué et mordu par la meute de chiens de chasse pour finir par être transpercé à la dague ou l’épieu à plusieurs reprises. L’objectif affiché de ce mode de chasse n’est pas de tuer sinon ce serait fait dès le départ, mais de faire durer le plaisir des veneurs le plus longtemps possible. Les animaux qui pourraient échapper à la traque ont d’importantes lésions pouvant les faire agoniser longtemps. Les données scientifiques documentent les « myopathies de capture » et les conséquences physiologiques des traques d’épuisement, notamment le rapport Bateson. [8]

  • La vénerie dissimule la réalité de ses pratiques

Les veneurs et photographes ont l’interdiction de publier les informations donnant une image négative de la chasse à courre. Le site de la vènerie a commencé à retirer certaines informations publiques, par exemple : il n’y a plus d’accès direct à la Charte des photographes. [9]

Les responsables de la chasse à courre oblige ses adeptes à ne pas diffuser la réalité des faits. L’objectif des veneurs prétend défendre les valeurs et l’éthique d’une belle vènerie non pas pour ce qu’elle est mais à travers des informations tronquées et lissées. Les photographes ont interdiction de diffuser des photos et vidéos pouvant nuire à l’image de la vènerie, doivent éviter celles pouvant être utilisée par leurs opposants et celles compromettantes. De plus, ils doivent être délateurs et signaler toute photo portant atteinte à l’image de la vènerie.

  • La réalité des faits

La chasse à courre n’a aucune éthique.

Les suiveurs-voyeurs indiquent la direction de fuite du gibier traqué, les nombreux véhicules se positionnent pour barrer certaines directions de fuite peu propice à l’hallali, c’est-à-dire le moment où l’animal épuisé ne pourra plus fuir facilement.

L’animal traqué est souvent dirigé vers l’eau, étang ou rivière, où la victime du jour, épuisée et cernée dans l’eau par la meute, sera empêchée de remonter sur les rives par l’armada de la vènerie, cavaliers, veneurs à pied, chiens et suiveurs, composée souvent de plus d’une centaine de personnes. [10]

Le paroxysme des sévices et du manque d’éthique étant l’utilisation de la barque, ce moyen mécanique de se déplacer, pourtant interdit en vènerie qui n’autorise que les veneurs à cheval ou à pied, comme le précise la circulaire ministérielle sur la vènerie et la Charte de la vènerie : à la chasse, il se déplace à pied ou à cheval et n’a recourt à aucun moyen mécanique.

Un veneur explique, lors d’une audience au Tribunal d’Alençon : on m’a dit de le servir (achever une bête au couteau), mais je m’y suis mal pris car il avait le cœur sous l’eau, alors je l’ai saisi par les bois pour le noyer. [11]

Les veneurs cherchent par tous les moyens à dissimuler la réalité de la chasse à courre et s’emploient donc à décrédibiliser les témoins de la matérialité de leurs faits.

  • Des plaintes d’intimidations

Des plaintes sans fondement pour intimider, pour faire engager des frais d’avocats, pour baillonner l’opposition comme celle engagée par l’ONF à la demande des veneurs en 2018 réclamant un montant exhorbitant. [12]

De multiples plaintes sont déposées contre les riverains et spectateurs prenant photos et vidéos, pourtant activité légale en lieux publics d’une activité publique, de surcroît pour les maîtres d’équipage Personnes publiques.

En effet, la page de la Société de vènerie consacrée à la mémoire des équipages illustre bien le caractère public de la chasse à courre et de tout ce qui s’y rattache, on y découvre ainsi la noblesse et autres dirigeants ainsi que des archives vantant la vènerie.

  • Des images gênantes

Ce qui dérange les veneurs, ce sont les images qui fâchent, celles qui montrent la réalité des faits comme en 2008 la traque d’un cerf jusque dans la cuisine d’une famille dans le Tarn ou en 2017 avec la mise à mort d’un cerf réfugié dans un jardin après l’avoir fouetté durant 45 mn. [13]

C’est la médiatisation de cet événement et l’émoi du public qui a conduit à la décision ministérielle de février 2019 d’interdire la chasse à courre à proximité des habitations et autres lieux publics. La réalité des faits, mise en évidence, permet de faire évoluer la législation.

  • Le pouvoir des chasseurs

Les chasseurs sont omniprésents dans les institutions et instances gouvernementales, ce qui assoit leur pouvoir. Ils s’en vantent dans leurs publications comme celle de 2018 sur leur travail préparatoire à l’arrêté ministériel modificatif pour éviter de défrayer la chronique, prétendant même s’appuyer sur leur charte des veneurs relative à leur comportement en zone habitée. Ils profitent dans le même temps de renforcer leur pouvoir dans la délivrance des autorisations de chasser à courre. [14]

Le lobby de la chasse est surpuissant et certains considèrent, à juste titre, que les autorités sont instrumentalisées dans l’intérêt particulier des chasseurs et notamment des veneurs comme l’a dénoncé un syndicat de police qui s’est plaint d’avoir à surveiller les chasses à courre. [15]

  • Des agressions

Cette volonté de dissimuler la réalité des pratiques de la chasse à courre conduit les veneurs à de graves agressions. [16]

Encore récemment, les veneurs ont agi violemment pour éviter la prise d’images, des journalistes étaient présents. [17]

Cette violence a pour objectif d’évincer les opposants et de privatiser l’espace public pour les intérêts privés de la vènerie.

Des rapports sénatoriaux précisent : Les procédures bâillons sont des procédures judiciaires intentées contre des journalistes, des associations ou encore des militants. Sans fondement réel, ces procédures visent principalement à intimider et limiter la liberté d’expression en impliquant les défendeurs dans un contentieux long et coûteux.

Le lobby chasse s’emploie à surmédiatiser leurs intérêts privés et empêcher l’expression de ses opposants.

De nombreux médias-chasse existent, notamment : chasse passion, chassons.com, société de vènerie, le chasseur français, chasses éternelles et le Fonds vènerie.

Ce Fonds de vènerie, dont les statuts sont inaccessibles, est présenté par son président comme un fonds de dotation c’est-à-dire une sorte de Fondation mais juridiquement plus souple à construire et faire fonctionner. C’est une équipe de communication pour défendre la chasse à courre en soutien de la Société de vènerie. Il finance à hauteur de 40% les actions de la vènerie et pour 1/3 les ressources de l’association des équipages et de l’association des veneurs. La vènerie veut être omniprésente dans le paysage médiatique par différentes publications et actions de communication via des canaux et supports variés, à destination des Médias régionaux et nationaux (presse, télévision, radio…), réseaux sociaux, Élus et à diverses administrations, Organisations agricoles, équestres, canines, Équipages et veneurs. La vènerie veut également communiquer à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour bien informer les parlementaires si un projet de loi d’interdiction de la chasse à courre venait à se présenter. Le Fonds vènerie s’entoure d’experts (communicants, juristes et avocats) et d’outils nouveaux.

Le lobby de la chasse est surpuissant, si bien que son poids dans les décisions publiques est énorme.

Le public a le droit à l’information, c’est même une obligation législative imposée depuis 2002 avec la Loi autorisant l’approbation de la convention sur l’accès à l’information, la participation du public au processus décisionnel et l’accès à la justice en matière d’environnement.

Le Sénat rappelle les principes fondamentaux : Toute personne à droit à la liberté d’expression, l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 établit que « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ». La référence à la DDHC de 1789 est souvent complétée par celle faite à l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme dont la formulation plus précise a nourri une abondante jurisprudence : Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées.

Les caractéristiques essentielles de tout régime démocratique sont : le pluralisme des opinions, la transparence des informations nécessaires à l’expression des citoyens, l’existence d’un espace public fondé sur la délibération collective.

Ils font ainsi des procédures-bâillons une atteinte potentielle au respect de ces droits fondamentaux

L’évolution sociétale prend en considération le droit des êtres vivants. La déclaration universelle des droits de l’animal a été proclamée au siège de l’Unesco en 1978 :

« Considérant que tout être vivant possède des droits naturels et que tout animal doté d’un système nerveux possède des droits particuliers. Considérant que la coexistence des espèces dans le monde implique la reconnaissance par l’espèce humaine du droit à l’existence des autres espèces animales ».

La chasse à courre n’est ni naturelle ni éthique.

Elle accapare le foncier et l’espace public, elle porte atteinte à l’environnement, aux animaux sauvages, domestiques ou de compagnie, aux riverains et aux humains exprimant des opinions différentes.

Lili, administratrice Convention Vie et Nature.


[1]https://www.eure-et-loir.gouv.fr/contenu/telechargement/18716/130290/file/Demande_attestation_meute_Eure_et_Loir+1.pdf

[2]https://www.centrale-canine.fr/commission-chiens-courants/articles/reglement-des-epreuves-de-chasse-pour-chiens-courants

[3]https://www.bfmtv.com/societe/sarthe-une-meute-de-chasse-a-courre-tue-une-chienne-apres-avoir-penetre-dans-un-jardin-prive_AN-202301160307.html

[4]https://www.lanouvellerepublique.fr/indre-et-loire/commune/saint-etienne-de-chigny/saint-etienne-de-chigny-un-lama-devore-par-des-chiens-lors-d-une-chasse-a-courre

[5]https://shs.cairn.info/revue-dix-septieme-siecle-2005-1-page-17?lang=fr

[6]https://collections.louvre.fr/ark:/53355/cl010057601

[7]https://www.centrale-canine.fr/sites/default/files/inline-files/Louis_XVI_et_la_chasse_du_cerf_ou_le_miroir_d-un_prince_Julien-Lacaze.pdf

[8]https://www.nature.com/articles/34045?foxtrotcallback=true

[9]https://www.venerie.org/wp-content/uploads/2024/01/charte_des_photographes_web.pdf

[10]https://www.youtube.com/watch?v=5PgTc8yqCMU

[11]https://www.ouest-france.fr/normandie/ecouves-61250/orne-reglement-de-comptes-dans-la-chasse-a-courre-0576adc8-2109-11ec-8998-56362f09f2a2

[12]https://www.parisdepeches.fr/2-Societe/4096-Grand_Paris/13780-Chasse_courre_opposants_obtiennent_justice.html

[13]https://www.youtube.com/watch?v=_ZQDPPBlyKI

[14]https://www.ecologie-radicale.org/images/stories/doc_pdf/Pouvoir_des_chasseurs_2018.pdf

[15]https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/oise/apres-chasse-homme-chasse-courre-oise-colere-syndicats-police-1554560.html

[16]https://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/ille-et-vilaine/violences-envers-des-militants-anti-chasse-a-courre-les-peines-de-prison-avec-sursis-confirmees-en-appel-3042054.html

[17]https://actu.fr/societe/la-chasse-a-courre-degenere-en-foret-d-orleans-des-militants-denoncent-des-agressions-et-des-menaces-de-viol_61916390.html


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